Quand
on parle d'un système dictatorial quelconque, le mot censure saute à
nos oreilles. Le pauvre peuple est condamné à vivre dans une sphère
d’hypnose. Le plus souvent ,les tenants du système masquent la vérité
pour exposer une image embellie du dictateur,si ce n'est pas sacrée.
Néanmoins,les yeux des médias s'allument dans la nuit du régime pour
éclairer l'opinion public. La cause pour laquelle les médias ne peuvent
exercer leur fonction en plein jour c'est qu'ils prévoient le
pluralisme, qui est le support de la démocratie, qui est le cauchemar du
dictateur.Il faut donc chercher tous les moyens détournés pour
transmettre la vérité aux hypnotiques!Cependant,on ne peut pas lier
intrinsèquement les médias au principe de la démocratie car prétendre
qu’un état sans médias est, par définition, un état dictatorial sera de
l’ordre de l’illusion aussi. La remonte à la Rome antique qui était en
même temps privée de tout moyen médiatique et basée sur le principe de
vote public sera la meilleure illustration. Aujourd’hui, vu que notre
société devient de plus en plus informatisée, les médias deviennent de
plus en plus répandus et particulièrement liés à la politique. Peu
importe, ce n'est pas l'essentiel de cet article.. La question majeure
c'est "comment les mêmes médias qui étaient une source de mensonges
pour le peuple durant un régime dictatorial pourraient devenir le
miroir de l’opinion public et donc l’outil de la transition
démocratique?" .Plusieurs conditions s’avèrent indispensables pour
assurer la transparence médiatique. On doit parler d’abord des
velléités des dirigeants des médias. Ces derniers ne sont ni assez
objectifs ni assez désintéressés pour neutraliser l’information et
donner une image pure de la réalité. Ils tentent souvent à diffuser des
mensonges. Certaines personnes accèdent à leurs plateaux, certaines
informations seront censurées avant la diffusion, etc. Cela dit que si
on veut changer le résultat médiatique on doit commencer par changer «
la mauvaise foi » et c’est ce que j’ai appelé pour modifier 2 ,il faut
modifier 1. La « mauvaise foi » est une notion profondément méprisée
par Sartre qui appelle à la lucidité qui, contrairement à la mauvaise
foi, « ne peut pas masquer à soi-même une vérité déplaisante ni
présenter comme une vérité une erreur plaisante ». La lucidité
s’applique à toute chose, même les médias. Elle éclaire la perspective
d’une société cohérente . Outre que la lucidité , les médias doivent
devancer la liberté. Celle-ci est prise aussi au sens philosophique
c’est-à-dire que la liberté de l’un ne nie pas la liberté de l’autre
et que l’homme, même s’il parle en son nom, est responsable et de son
être et de l’humanité entière. Cela dit que les gens qui parlent dans
les médias engagent avec eux tout le monde car ils instaurent une
certaine attitude sociale. S’ajoute aussi la valeur de la tolérance qui
permet de primer l’hétérogénéité des opinions sans tomber dans la
haine. Diverses sont les critères nécessaires à la transition
démocratique. Seule la volonté de l’homme peut déterminer la durée
qu’un tel changement pourrait prendre. Ceci n’empêche qu’un visage
médiatique idéale est de l’ordre de l’utopie. Cela dit que tout le
monde ne peut pas participer à la transition démocratique, plusieurs
sont là pour anéantir tout, pour faire ce qu’ils ont été habitué à
faire. Seuls les gens assez courageux et assez patriotes se lancent
dans le défi transitoire. Avec eux,les médias offrent la possibilité
d’entretenir des débats publiques accessibles à tout le monde à travers
le petit écran, la radio, les journaux, etc. Ces débats permettent aux
spectateurs, ainsi qu’aux lecteurs et auditeurs, de rester à la une,
de réagir de manière communicative.
Dans le web, il y a même des groupes spécialisés dont le rôle est d’examiner l’opinion public à travers des sondages organisés. L’hétérogénéité des avis forme l’unité de la démocratie. Les médias aident les citoyens à connaitre les différents partis politiques, chose fondamentale pour le choix électoral. En fait, depuis la troisième révolution industrielle du XXe siècle, prônée par l’invention d’Internet, celle-ci est devenue la source première de la diffusion des informations en gogo. Internet est l’emblème de la démocratie car elle referme la divergence des opinions et regroupe les gens dans des réseaux sociaux interactifs. Voilà la leçon à retenir : il est nécessaire de recourir aux médias pour accélérer l’évolution de la transition démocratique, si seulement si l’intérêt public sera pris par la majorité comme un but suprême.
Dans le web, il y a même des groupes spécialisés dont le rôle est d’examiner l’opinion public à travers des sondages organisés. L’hétérogénéité des avis forme l’unité de la démocratie. Les médias aident les citoyens à connaitre les différents partis politiques, chose fondamentale pour le choix électoral. En fait, depuis la troisième révolution industrielle du XXe siècle, prônée par l’invention d’Internet, celle-ci est devenue la source première de la diffusion des informations en gogo. Internet est l’emblème de la démocratie car elle referme la divergence des opinions et regroupe les gens dans des réseaux sociaux interactifs. Voilà la leçon à retenir : il est nécessaire de recourir aux médias pour accélérer l’évolution de la transition démocratique, si seulement si l’intérêt public sera pris par la majorité comme un but suprême.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire